Vincent TERRENOIR

Après 20 ans (1989-2009) en service actif de police judiciaire à la préfecture de police de Paris où j’ai traité de la petite, de la moyenne et de la grande délinquance (entre autres chef de section à la brigade répression du banditisme (BRB) ; mise en place et direction de deux groupes d’intervention régionaux (GIR) Val-de-Marne puis Paris avec la particularité de travailler en interministériel ; chef du 2e district de police judiciaire – quartiers est et nord de Paris), j’ai ensuite intégré et participé au sein du secrétariat général du ministère de l'intérieur à la préfiguration et à la création du CHEMI (Centre des hautes études du ministère de l'intérieur, aujourd'hui devenu l'IHEMI - Institut des hautes études du ministère de l'intérieur) comme directeur de la formation (2009-2011). J’ai ensuite intégré la direction des ressources et des compétences de la police nationale (DRCPN) de la direction générale de la police nationale (DGPN) et ai mis en place et dirigé sur le territoire métropolitain la Mission de reconversion et de réorientation de la police (M2RP) comprenant un réseau national d'une trentaine de conseillers mobilité carrière (CMC), dont une partie a pour mission de conseiller les agents de la police nationale qui, à travers une démarche volontaire et confidentielle, souhaitent mettre en œuvre un projet de transition professionnelle (conseil, définition, orientation) de mobilité ou de reconversion temporaire ou définitive hors du champ de la police nationale, dans la fonction publique d’État, territoriale, hospitalière ou dans le secteur privé (entendu au sens large) ; et dont l’autre partie développe un réseau de partenariats de proximité auprès des employeurs des secteurs publics et privés afin de promouvoir les compétences des agents de la police nationale et de contribuer à cette mobilité ou à cette reconversion (2011-2016). J’ai ensuite quitté mon ministère de tutelle et suis depuis détaché au sein du ministère de la santé et de la prévention comme délégué pour la sécurité générale auprès du directeur général de l’offre de soins (DGOS) avec également la charge de l’Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS).